Louise Desrenards on Sun, 4 Feb 2007 19:57:44 +0100 (CET) |
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PRESIDENTIELLES FRANCAISES (passage épique) >>> U R G E N T L A D E B A C L E De la fonte au bris des glaces : la désertification continentale de la culture intègre celle de la disparition du politique ; l'impact social de cette disparition est à comprendre comme effet pervers qui fonde une criminalité politique dans la désinformation du pouvoir et de ses décisions - parce qu'elles ne sont plus contenues dans le pacte électoral dialectique, mais dans les arrangements entre pouvoirs dont la hiérarchie des intérêts est obsolète au vu des peuples - et évidemment contradictoires avec leurs intérêts sinon ils en seraient glorieusement informés. Comme il n'y a plus de concept d'Etat nation valide disons alors les "populations" ce qui n'exclut pas leur diversité : est-ce cela qui installe de fait la généralisation du populisme comme s'agissant d'un seul peuple unifié sous la vulgarité idéologique du régime des gouvernements délocalisés et supra-nationaux ? N O N ! M O R T A L A G U E R R E ! En ces temps de réchauffement planétaire sans soleil annonçant la débâcle de nos petites semailles sous la déferlante des grands glaciers de la tradition euro-franco consistant majoritairement en monnaie narcissique, en armement et autre aéro-spatiale, nucléaire, alliés, et leurs cortège de pauvres s'acroissant, qui ignore les verts continents, ne doutons pas à l'effet de l'actuel résultat commun que les rêves de la gauche post-moderne ne formaient que la couche superficielle de la glace. Cette membrane comprimant le bloc en a tenu position de pouvoir, mais sachant sa fragilité fusionnelle elle avait dernièrement rétréci ses por(t)es, avant de les fermer pour se congeler avec le bloc : en supprimant la majorité simple dans l'Europe "unifiée" sous le régime absolutiste de l'unanimité impossible, entendez bien sur le plan législatif qu'une loi peut passer à la majorité simple mais que la majorité simple ne suffit pas à l'empêcher de passer - ni a fortiori de la révoquer -, l'Europe est devenue un grand Etat nation non seulement post démocratique mais non démocratique. Et dans le passage de sa fonction législative et administrative délocalisée à sa transmission hiérarchique par pression exécutive localisée : un état pervers. Etat exécutif de fait puissant (c'est pourquoi ils veulent une constitution pour pouvoir en justifier car immédiatement hors la loi, l'éxécutif n'étant pas leur mandat élu), par l'ingérence de ses impératifs hiérarchisés comme priorités, dans les pouvoirs locaux. Etat anonyme annexé par des intérêts inavoués cadrés par les flux extérieurs des gouvernements délocalisés supérieurs, une nouvelle hiérarchie oligarchique au-dessus des pouvoir élus. Etat se donnant tous pouvoirs en déniant à l'intérieur de lui-même la réalité d'un équilibre politique et économique, que seules pouvaient procurer les voix de la diversité, comme voix en relief sans laquelle il n'est point de démocratie. Nous avons été pris en otage et c'est l'argent de notre travail encore majoritairement productif dans les années 90 qui a payé cela à l'oeuvre de supprimer nos droits individuels et collectifs ! Nous et quelques autres - rares. L'Europe n'est pas sage, elle est, par structure, sous l'autorité délocalisée supérieure dont elle brigue la carrière progressive pour ses propres clercs issus des majorités représentatives locales, ou nommés loin du suffrage universel, par là reproduisant de la même façon le statut de disjonction des engagements électoraux entre les territoires locaux et leur supra nationalité commune. L'Europe est délirante et disjointe des peuples qu'elle contient, abstraite des sociétés sauf celle des salariés de sa propre administration - sur-salariée eu égard à la paupérisation des économies qui la supportent. Et la France de Mitterrand de ses grands cadres et de ses hautes alliances avec le camp opposé endogène expatriés au niveau européen et mondial exogène en est pour l'essentiel responsable, voyez et suivez les traces depuis leur passé : Lamy, Trichet, Lauvergeon, Dassault, face à Wolfowicz dans le même cadre d'intérêt accompli et négocié. Nous ne sommes pas protectionnistes ni contre la solidarité des différences, mais nous sommes contre l'unification de la monstruosité élargie à l'informel exécutif immonde. On nous a fait taire au nom de la solidarité avec les pays pauvres : rigolade ! Plus que jamais on y crève de faim ou on leur vend des denrées ou des services qui les modifieront ou les rendront malades jusqu'à leur disparition... Ou alors on les exploite dans des conditions sociales telles qu'ici nous devrions retourner au commencemnet de la société industrielle... Ou alkors on décrète contre eux des emabrgos et quand ils sont affaiblis on leur fait la guerre, on mène l'extermination de cette façon. La vie de qui tombe accidentellement ou par défaut de la médecine ne vaut plus rien, inutile de le relever avant le moment fatal, seul celui qui peut marcher ou qui greffé pourra poursuivre son activité, après qu'il ait permis à la chaine de la médecine d'accomplir le cyle onéreux des organes, intéresse (je ne dis pas cela contre les corps greffés mais contre la façon dont les organes sont prélevés, là encore en modifiant le rapport symbolique à la mort contre l'information de ceux - tous suceptibles d'être donneurs et de ne pas avoir été par conséquent sauvés in extremis car un donneur ne doit pas être mort - qui alimentent les banques d'organes et les expériences de cryogénisation - par exemple : que se passe-t'il à la clinique de Saint Denis, dans la région parisienne, laboratoire dans ces domaines non informé, sous la tutelle directe du ministère de la santé, hors éthique de la médecine ? On ne peut pas assurer la qualité de la solidarité et sa pratique enthousiaste citoyennes si elle ne sont pas librement consenties, si elle est l'objet de la pression du pouvoir. On connaît parfaitement les exemples antécédents historiques de cela. Personne ne s'alarme. On nous a dit que les petits colombiens volés pour leur prélever des yeux cela ne pouvait durer mais cela continue ici ou là... Ça continue même en Chine exemplaire de l'explosion néo-libérale, où ce sont les prisonniers politiques qui pourvoient la demande d'organes de la classe enrichie - et les exporte en bon droit, même pas clandestinement. Sans rapport symbolique à la mort, le corps n'est plus que de la chair de boucherie et la vie n'est plus représentative par rapport à la mort. Par conséquent, la vie n'a plus à rendre de comptes à personnes sauf à elle-même de tout faire pour pouvoir exister y compris contre les autres, et au pouvoir qui le réprime alors qu'il procède de la même façon entre ses membres sous amnistie permanente - refusant de donner aux autres la perfusion l'amnistique - de supprimer davantage de libertés. Pour ne parler que des italiens harcelés par ceux contre lesquels ils se défendaient ! Mais souvenez vous de Delors, de Guigou - pourtant des gens biens - sans lesquels rien n'aurait pu être bouclé sur l'Europe à la fin des années 80 et au début des années 90... Quand nous étions aussi en tête des commissions mondiales représentatives. Ils se sont fourvoyés et ont inscrit l'arrivée des Raffarin des Villepin, des Sarkozy, gagée sur l'allaince de Chirac et de Mitterrand sur les grands dossiers ; etc. Que la France agisse en accélérant la division civile au Liban dans le sens des projets américains de lever une guerre vivile générale au Moyen Orient entre l'Inde et la méditerranée, au Sud de la Chine et de la Russie : en quoi cela pourrait-il surprendre ? A quoi servit-il de ne pas s'engager au commencement de la guerre d'Irak en ouvrant le couloir aérien national aux militaires anglais et américains ? A quoi cela servit-il en cautionnant la même politique à propos du Liban sous couvert d'y défendre ses intérêts propres ? Tout cet argent que nous a coûté la guerre au Liban car la banque mondiale a déclaré payer, mais en même temps déplorant que les américains ne payent plus... Qu'importe donc de déclarer qu'on ne serait pas d'accord en faisant tout pour le permettre ? L'intégration de l'Allemagne de l'Est et de l'Europe du Sud dont la zone euro, quand le Royaume Uni se tenait et se tient toujours en dehors de la monnaie : qui le payait ? Et on nous parle maintenant duremboursement de notre dette pour plaire aux futurs candidats à la succession de monsieur Trichet l'homme du scandale du Crédit lyonnais, au pouvoir de la banque européenne, voir de monsieur Wolfowicz, l'ancien secrétaire de la défense américaine faisant ingérence dans la banque mondiale qui finance les reconstructions après les guerres, donc les autorise ou les encourage - la question du Liban, à la rencontre de Rome, l'an passé ! J. Attali conseiller - non mais tu rigoles, t'as vu le plan de carrière ? Qu'on ne nous avance pas le modèle de prospérité anglais en mettant en ellipse la question de la monnaie qui nous asservit dont il est libéré !!! Ségolène, Sarkozy égause dev ant le modèle anglais et les lobbies de l'OTAN, sont des chevaux de cours enrubannés mais borgnes, et nous, nous sommes la charrue qui transporte des princes que nous ne connaissons pas... Qui a payé l'Europe après l'avoir voulue technocratique et aberrante ?!!! Il fallait assumer. Nous avons été dupes du retrait progressif de nos droits, le successeur Chirac plebiscité à son heure a confirmé, par les réformes correspondantes, en fait une révolution de la structure républicaine dans le sens de la disparition du pacte électoral qui l'assortit. L'Europe de tous les dangers justifie les abus locaux des pouvoirs de tous les dangers. Après les premières observations de la tournante au pouvoir européen, on sait qu'elle s'effectue à travers une stratégie de désinformation sur les engagements fondamentaux législatifs et leur transmission exécutive par les pouvoirs locaux, qui loin d'être représentatifs de leurs engagements devant les peuples qui les ont élus élus, ne font que la performance de la trahison des responsabilités instituées, et de s'en démettre pour se protéger. Méta-république et post démocratie : fin de la souveraineté du suffrage universel. Le suffrage universel et les voix de la classe majeure qui le représente en dernier lieu dans les sociétés sinistrées par la disparition de l'industrie désignent la classe moyenne comme l'ultime classe politique, pas seulement celle des salaires qui se raréfient et s'appauvrissent, celle encore des dernières professions libérales et artisans comme petites entreprises devenues précaires, sous le coup des normes de la fiscalité et du contrôle, et dans le même sac par voie de conséquence de la précarité de l'employeur le travail précaire à l'autre bout, et parfois même pas des employeurs précaires capables de procurer un emploi précaire sinon celui de l'entrepreneur lui-même, paradoxalement mal nommées vu ce qui leur arrive en plein néo-libéralisme. Celle, la classe survivante, qui est assignée à payer les derniers impôts de la propriété des moyens de production - c'est à dire soi même étant considéré comme un bénéfice dès lors qu'on n'est pas à l'hopital : qu'ont à répondre là-dessus les candidats de gauche sur la disparition de la classe qui constitue massivement sa base électorale - évidemment bourgeoise et petite-bourgeoise et sinon misérable mais surement pas comme classe ? Alors ? Je parle d'ici, ce que je connais, ce que j'ai observé, sur quoi le temps a passé et qu'il a transformé. Quid de la classe tampon qui n'aime pas le populisme parce qu'elle vient du peuple, non de la hiérarchie, et à laquelle il ne faut pas mentir sur l'intérêt d'un prolétariat de classe, quand il n'existe plus en nombre suffisant pour faire et jouer son effet de classe, celle qu'il faudra donc détruire au moins politiquement pour ne pas avoir accepté d'avoir les yeux bandés, celle qui lève la voix de la critique ? L'entropie de la disparition de sa ressource s'en charge, ou pour ceux qui avaient de la bonne ascendance plus encore son ascension générationnelle, vers les métiers du pouvoir, les cadres sup, les experts, en quête de compenser sa perte, la rendent alliée et captive du pouvoir, alors qu'elle put être une alliée des classes exploitées. Elle n'empêchera plus de sa voix critique le cours des décisions programmées au-dessous ni au-delà, peut-être même qu'au fil du temps cette voix s'étant fossilisée finira par paraître s'abstenir : car le système électoral a été structuré de telle façon que la différence elle-même, sa voix critique, ne puisse plus être considérée comme une voix exprimée. [Pour bien comprendre l'ampleur des pertes populaires depuis 1968, on ne va pas revenir en détail - mais rappeler l'événement - sur la création attribuée de la sécu à l'UNEDIC par Giscard d'Estaing, absorbant le patrimoine des travailleurs que constituait celui des mutuelles qu'ils avaient financées de leur travail, le volant pour compenser le trou de la sécu suite à la ponction pour dédommager les sociétés pénalisées par le premier choc pétrolier, à la fin des années 70 : un vol contre lequel les syndicats n'ont pas protesté, juste une petite manif à l'époque puis un étrange silence, puisqu'ils allaient en devenir les gestionnaires directs. On connaît la suite du problème accru par le chômage et la perte de la qualité des soins de santé. On connaît aussi l'émergence conséquente avancée par le même président : "autonomie énergétique de la France : vive le nucléaire !" ainsi ce qui n'était qu'expérimental et déjà contesté allait devenir général, puis à la disposition de l'Europe - ne manquait plus que le projet mondial ATER - bref : jamais plus nous ne pourrons nous lever contre le nucléaire pour notre survie locale, avant une épouvantable catastrophe consommée, sauf émeutes et répressions comme ce qui se passe pour les OGM : balles dans les jambes, bastonnades mettant à terre, crocs des chiens dans les personnes à terre, comme à Abu Graïb - qui a lancé la mode - ou train roulant sur les activistees se couchant sur les vcoies pour l'arrêter... restant apparemment sans conséquence... Au reste, il a soustrait aux médecins la direction des hopitaux pour la confier aux administrateurs ne respectant pas l'autorité hiérarchique de l'éthique médicale - réforme populiste qui passa comme une lettre à la poste dans la récupération participative de 68.] Destruction de la démocratie instituante en France en 4 temps majeurs : 1981-1982, Mitterrand organise la réforme électorale qui fera du parti socialiste le plus grand parti de France à la Chambre des députés pour 7 ans ; c'est simple : on supprime la reconnaissance du vote blanc comme suffrage exprimé, communiquant que c'est au nom de le remplacer par une proportionnelle plus justement représentative de la diversité, mais on ne lui donne qu'une forme limitée par le pourcentace nécessaire des voix exprimées autorisant l'émergence représentative des candidats, et comme le tissu politique électoral n'est pas encore structuré après la fin des groupuscules grauchistes, sinon ceux qui sont allés renforcer le parti socialiste, l'émergence est faiblement trotskyste, principalement Lepéniste, isolant le parti communiste sur sa droite, et amorce les Verts sur le modèle Berlinois, qui reconnaissants verront leurs électeurs pour beaucoup voter en faveur des socialistes au second tour. Les verts se liquideront quand il deviendra notoire qu'ils aient du signer des engagements de ne pas intervenir sur les nuisances liées au service public : ? dioxines dans l'air ? ? et nucléaire (EDF) - dès lors qu'il accèdent au gouvernement. Le réforme suivante est celle pour uniformiser la déclaration des droits adpoptés par l'Europe, qui supprime sans faire de référendum dans les pays qui l'abolissent, le devoir d'insoumission devant l'infamie de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen, notamment en France, en annexe de la constitution de la cinquième république, (l'obligation du réferendum est attribuée à la modification du texte constitutionnel lui-même pas spécifiquement aux droits en annexe : la ruse consista à tirer le principe par les cheveux et le tour fut joué dans la désinformation absolue), à l'occasion du bicentenaire de la révolution française en 1989. Pourtant ce devoir reste attaché à la charte des fonctionnaires et des contractuels missionnaires de l'Etat en souvenir de l'insoumission du préfet Jean Moulin, passant dans la clandestinité : mais les citoyens l'ont perdu devenant par là irresponsables - depuis le bicentenaire, le peuple français a perdu sa souveraineté devant ses fonctionnaires, alors que sur le plan des responsabilités symboliques il les égalait. Nous ne sommes plus des scitoyens responsables car on nous a dérobés nos vertus intituantes. Le dernier tour détruisant totalement le processus représentatif de la citoyenneté en démocratie n'est pas une réforme mais l'ordre de partis centralistes voulant se partager le pouvoir à deux sur le modèle américain, de se fonder sur la fausse proportionnelle pour la renforcer par l'exclusion, en ordonnant respectivement à leurs élus de ne pas donner de signature aux candidatures des représentants des partis opposants. Mais il y a pire : ce n'est pas là le dernier tour. Le tour d'écrou consistant à adopter contre le droit politique local (national) le système européen du pouvoir et des experts cooptés ou tournants, applicable par les institués élus dans leurs localités, de ne pas considérer instituant un vote majoritaire non unanime. Trahissant ici notre droit, un droit ingérent non informé est pratiqué de fait s'il n'est pas conforme à l'attente des pouvoirs en place : le référendum contre la constitution européenne est actuellement dénié par les deux candidats majoritaires en présence, unis par leurs intérêts de lobbies à Bruxelles, tandis que monsieur Chirac accomplit de constitutionnaliser l'Europe avant de quitter le pouvoir - ce qui arrange son adversaire local, qui y a le même intérêt. De plus, le président Chirac avait déjà fait passer par l'assemblée nationale une réforme constitutionnelle anticipant le résultat populaire, contre le droit constituionnel lui-même. Le seul qui l'ait fait remarquer après le résultat c'est le député de droite des Landes : Villiers. Aucun parti de la gauche parlementaire n'a demandé la levée de cette réforme constitutionnelle illégale après l'opposition manifestée par le référendum. Ils sont complices. Qu'on ne nous propose pas la réforme de la démocratie participative et le parlentarisme sur la base de la destruction effective de la démocratie en France sauf à prendre les gens pour des imbéciles : ce qu'ils ne sont pas ! Cela fera mal ou pervers. On nous demande de devenir des collaborateurs de l'oligarchie qui nous considère irresponsables (qui a détruit notre pouvoir instituant), mais de plus elle veut se débarasser de ses responsabilités représentatives, c'est à dire celles qui peuvent conduire en prison des élus, en prétendant nous porter à la responsabilité cautionnant les influences ou les conseils désinformés, autant dire la manipulation !!! C'est un scandale : ils veulent le beurre et l'argent du beurre, les godillots et la couronne ! Enfin, quand on voit le train d'attribution des faveurs aux énergies associatives à l'égide des partis au pouvoir, et les trains de délation fiscales y compris entre voisins et familles qui accompagnèrent autant les gouvernements socialistes précédents comme au temps de Pétain (c'était du jamais vu depuis Pétain, d'après les inspecteurs eux-mêmes débordés par la demande, de leur propre aveu), le tout assorti de petites primes citoyennes en cas d'enquête aboutissant : on se demande bien quel traitement sera accordé à ceux qui n'en feront pas partie sous le gouvernement de madame Royal, qui a directement installé par les conséquences de ses réformes comme déléguée à la famille, le procès d'Outreau. Le problème c'est que le peuple en France est souverain et instituant, du moins dans son idée. Les peuples trahis ici se vengent en s'insurgeant de façons différentes, selon les impasses qu'on dresse devant eux. Si la voie est libre ils sont le peuple souverain de l'égalité de la solidarité de la fraternité. Si la voie se ferme il devient le peuple qui trahit sa mission ou se trahit entre lui. Mais savoir comment ? C'est une question indécidable. (Le vote Le Pen en 2002 en fut peut-être un aspect). La constitution de l'Europe non fédérée unifiée par force installera donc sous la botte, devant l'éternité, l'absence de diversité, sinon que tout présumé innocent (le divers et l'autre) étant d'abord coupable (selon les annexes) tant qu'il n'a pas prouvé son innocence, mais alors entre les mains de la police autorisée à pénétrer chez tout un chacun et à le détenir à vue, d'abord sans avocat. Ceux qui sont en train d'installer une constitution non informée après le refus global de celle informée pour le référendum et refusée majoritairement par la gauche (40% sur les 55 obtenus) donc ceux qui se prétendent élus de la gauche mais dénient sa volonté populaire instituante, sont coupables de haute trahison éthique du système électoral dans le cadre duquel ils se présentent, à l'égal du parti au pouvoir qui le commet. Nous voulons une Europe modifiable à la majorité des deux tiers, et des lois instituables ou non instituables à la majorité simple. Nous voulons une Europe du droit des citoyens pas du droit de l'oligarchie et de sa police. Nous voulons une France autonome dans le cadre relatif de ses traditions politiques les plus avancées au vu des droits de l'homme et de se donner les moyens de pourvoir à la survie de citoyens non exclusifs dans une Europe qui respecte les singularités politiques fédérées et leur droit d'hospitalité. L'Europe est pour équilibrer la diversité, pas pour accomplir la fatalité de l'unité. EDF est maintenant privatisé, on voit donc en quoi le consentement de la pollution du service public au nom de l'intérêt public est une tautologie qui ne s'est pas jouée de la même façon pour tout le monde sinon de toutes façons contre la santé des gens;-) et comment le lobby mondial des banques liées au nucléaire civil s'est structuré pour une part depuis le choix français. Cautionné par le comité d'éthique grâce aux socialistes, aujourd'hui ces derniers tiennent la représentation suprême d'un allié à la tête locale/ globale de ce lobby, qui avec les projets de l'aéro-spaciale et des satellites de communication par les trusts de l'armement, sont les seuls projets industriels regardant le commerce mondial proposés par Chirac comme grand projet économique pour la France - sur la base d'une évidence alliance socialiste. Lobby de l'armement et de l'aéro-spatiale, lobby du nucléaire, lobby de l'agro alimentaire, lobby de la monnaie indépendante des sociétés, lobby des valeurs boursières (Euronext à New York voté par les représentants des Pays Bas, le seul peuple d'Europe qui avec nous ait dit clairement non à la constitution européenne : au moins eux, ils sont logiques dans leur propre sens, sachant l'empêchement du dynamisme des valeurs encourru par la stabilité de l'euro ; quand nous c'était juste our défendre les libertés et notre autonomie anti- globale), gérés et ingérés par les banquiers et l'oligarchie qu'ils gagent, hors de tout système social d'équivalence de la valeur, à l'issue de l'équivalence de la valeur des sociétés de la production, déjà la gauche politique, liquéfiée sous l'effet de serre de ses propres membres de l'Enarchie régnant à assurer les lobbies déferlants, a rejoint la fluidité marine sans d'ailleurs en changer le niveau - hélas. Néanmoins le reste, deux fois hélas, ne manquera pas de suivre. Alors, que restera-t'il de notre terre, je vous le demande, "Luther Blisset" ? L'exemple même de la gestion souveraine de l'Europe par l'ingérence des lobbies à l'horizon de la destruction du vote souverain, est celui de l'affaire des OGM : on peut dire "l'affaire" vu l'irresponsabilité publique des décisionnaires et des pouvoirs représentatifs, et ce qui est annoncé contre l'information et la souveraineté citoyenne. Mais ce n'est pas une escroquerie, cet abus des localités par l'Europe qui compromet les respsonsables locaux : c'est cela même la forme européenne qu'on veut nous obliger d'intégrer par une constitution éternelle... DANGER ! DES DICTATURES ANONYMES EFFECTUENT NOS DESTIN. (ce n'est la question de Monsanto sur "quoi" personne n'a plus de doute, mais sur ses laquais et son ingérence au sein des structures d'un état qui se prétend souverain ; cette criminalité politique par défaut de démocratie européenne au titre de l'unanimité législative, et son effet pervers sur les démocraties locales attribuées contre leur propre droit d'en être la hiérarchie exécutive, hors de devoir rendre des comptes aux peuples, est la voie des pouvoirs qui organisent des complicités diligentes parmi ceux qui ont à lui en rendre, par conséquent qui trahissent, voilà ce je veux manifester, à la veille des élections : le système pervers. Merci de regarder jusqu'à la fin qui informe le reste en feed-back (c'est une rediffusion publiée sur Internet) : http://video.google.fr/videoplay?docid=-8996055986353195886 Faites vite passer avant que... Pour conclure sur le contexte, parlons de la crise globale déjà annoncée : Il se pourrait bien que sur la dépression boursière et économique mondiale annoncée à cinq ans d'ici, par les observateurs les plus avisés du dollar et de l'économie américains et de leurs effets intérieurs comme extérieurs, on n'en lise dans aucun support d'information français ou européen à la disposition du public, c'est un peu comme Tchernobyl, le nuage s'arrête déjà aux frontières d'une Europe où autrefois il s'arrêtait à la France. Une Europe où aucune décision qui serait la plus folle (tout totalitarismes et fascismes confondus) ne peut être empêchée dès lors qu'elle n'encourt que la majorité contre ou en réserve, car seule l'unanimité est reconnue comme représentative (autant dire jamais) du rejet d'une loi ou d'un décret : ce n'est pas la question de la constitution non un pire mais une affirmation globale du pire engagement déjà pris à la fondation européenne sous la responsabilité de monsieur Mitterrand, de ses oligarques, et de ses alliés dans l'autre parti... Soit une catastrophe mondiale telle qu'elle ait pour conséquence ultérieure la relocalisation du monde, et par conséquent une remise en cause totale des engagements des pouvoirs supra nationaux jusqu'ici. Une sorte de révolution de l'économie mondiale se présentant comme la seule solution logique permettant que les sociétés se relèvent matériellement de l'effet de catastrophe, ne serait-ce que pour permettre à ses citoyens de pouvoir survivre au sens propre, c'est-à-dire de se nourrir pour commencer, avant de trouver d'autres façons de s'enrichir pour continuer... Non la conséquence d'un mouvement politique mais sa nouvelle cause, en quelque sorte. Il y a un point de catastrophe supplémentaire qui concourt à édifier l'hypothèse de la future relocalisation, c'est la necessité d'enrayer de réagir contre le développement de l'effet de serre, c'est pourquoi nous reviendrons fatalement un jour au terme des pires conséquences auparavant, à la relocalisation relative de l'économie de production et de distribution. Avant même, la relocalisation pourrait être un vaccin préventif contre l'arrivée de cete épidémie annoncée comme une catastrophe sans précédent, dans le cadre des effets conséquents et subséquents de la globalisation (les conséquences sociales de la dépression des années 30 étant par conséquent du gâteau à côté de ce qui se prépare, d'où les scénarios catastrophes du Pentagone - maintenant sous alliance européenne - pour éliminer pourquoi pas un tiers de la population du globe : entre la guerre civile généralisable à tout le Moyen Orient, et l'hypothèse des catastrophes climatiques dues "au réchauffement de la planète" sur l'Asie du Sud Est devant résoudre une partie du problème, d'après madame Rice, le mois dernier... On se souvient que la Chine trouve la source de sa performance économique néo-libérale dans l'expérience productive et la puissance de l'expérience acquise pendant Les Cent fleurs, quand avant et après la désaffection de l'URSS la Chine dut déplannifier son économie et déréguler l'organisation de l'industrie en libérant l'initiative populaire, pour faire face à la crise qui du coup ne lui fut pas fatale. Un des moyens fut la lutte contre l'idéologie de l'organisation du travail et les membres du parti de la planification... Ce fut l'objet premier de la révolution culturelle... Une lutte critique réforme pour permettre de ne pas empêcher ce mouvement. Mais nous ne sommes plus au temps des révolutions par le parti auto-critique pour les peuples, et d'ailleurs ce n'est pas à souhaiter vu le tour que cela finit par prendre au delà de la nécessité de la réussite, dans le recours coercitif et répressif. Alors voilà, osons déclarer peu importe comment mais surement par l'effet de retournement des choses globales au terme de leur propre logique, la relocalisation se fera nouvelle, mais qu'elle se fera, et que le modèle européen est d'ores et déjà non seulement inadapté à la phase suivante, mais qu'il sera le lieu même de la plus grande catastrophe compte tenu de son impossibilité instituée pour ne pouvoir se transformer. Ici la catastrophe sera totale et suite à la catastrophe l'Europe devra trouver de fait sa capacité fédérale, ou avouer qu'elle fut un monstre non viable. Quant à l'euro, alors, peut on imaginer qu'il puisse poursuivre sa vie indépendante des réalistés sociales sans qu'on finisse par trouver des monnaies de substitution ? Quelque chose au delà du libéralisme et du communisme se prépare à la croisée des chemins qui procèdera d'une logique aléatoire mais prédictible, un carrefour peut-être installé par des catastrophes terribles, du moins pas par des révolutions violentes, où le bénéfice et la légitimité de l'autonomie populaire deviendront les nouvelles ressources, car la seule énergie possible qui soit d'autant plus vitale qu'elle soit libre. Conclusion : Le PS lâche tout, il dérégule, il déplannifie son projet politique fermé aux réalités qui l'environnent, en restaurant la démocratie même au prix de devoir sacrifier le premier plan de son parlementarisme cautionné par la démocratie participative : ou il va cette fois historiquement s'effondrer. Toute la cohérence du projet économique et sécuritaire comme des lobbies du parti socialiste est du côté de l'UMP. Lauvergeon est au pouvoir du nucléaire civil consenti par Chirac, les altermoiements de l'UMP tortillant les hanches autour de Sarkozy n'avaient qu'un enjeu : le faire entrer dans le pacte de Dassault ou lui montrer que l'UMP pourrait faire passer non pas madame Alliot Marie, mais à force de fantaisie, Ségolène Royal elle-même. Maintenant que l'UMP de Dassault a intégré Sarkozy et que Sarkozy a intégré Dassault, ne rions plus de Ségolène Royal et de ses mauvais conseillers. Allons y comme dit l'autre:) il n'est plus temps de se taire : Au PS : RESTAURER LA DEMOCRATIE : CE NEST PAS DEMAIN C MAINTENANT 1. LACHEZ TOUTES LES AUTORISATIONS DE SIGNATURE A LA GAUCHE NON OLIGARQUE (je veux dire qu'il n'est pas nécessaire d'avoir fait l'ENA pour être président de la république française) QUI VOUS LE DEMANDE, POUR CAUTIONNER SES CANDIDATURES. 2. CLAMEZ L'INDIGINITE DU PRESIDENT QUI A MODIFIE LA CONSTITUTION FRANCAISE AVANT LE REFERENDUM ET QUI LOIN DE REVOQUER CETTE MODIFICATION APRÈS LE RESULTAT PREPARE MAINTENANT DE NE PAS RESPECTER LE VOTE SOUVERAIN EN CONSITUTIONNALISANT L'EUROPE AVEC LA COMPLICITE DES PARLEMENTAIRES. DITES QUE MEME SI VOUS N'ETIEZ PAS D ACCORD AVEC LE RESULTAT OBTENU VOUS N'ETES PAS D ACCORD DAVANTAGE AVEC LA MANIPULATION RESULTANTE ET QUE VOUS ACCEPTEZ DE PRENDRE EN COMPTE LE RESULTAT DU VOTE CAR EN FRANCE LA VOIX DU PEUPLE EST SOUVERAINE. APPELEZ L'EUROPE A REFORMER SA MAJORITE UNANIME PAR LA MAJORITE RELATIVE ET LA MAJORITE DES DEUX TIERS AVANT MEME LA RELANCE DU PROCESSUS CONSTITUTIONNEL. Ou Adieu ! La dictature que vous aurez préparée pour vos adversaires vianqueurs n'étant autre que celle que vous aurez vous-même installée depuis que vous aviez le pouvoir : vous ne pourrez pas dire que c'est parce que vous l'aviez perdu. Mais vous allez perdre de le regagner. Car le peuple déjà vous a lâché quand l'ayant engagé à voter Chirac contre le Pen en 2002, il vous a obéi. Ne l'avez vous pas pressenti ? < n e t t i m e - f r > Liste francophone de politique, art et culture liés au Net Annonces et filtrage collectif de textes. <> Informations sur la liste : http://nettime.samizdat.net <> Archive complèves de la listes : http://amsterdam.nettime.org <> Votre abonnement : http://listes.samizdat.net/sympa/info/nettime-fr <> Contact humain : nettime-fr-owner@samizdat.net